Il faut de l'eau, beaucoup d'eau, et heureusement, le sol en regorge.
Le premier forage nous a permis de constater que l'eau était à 36 m en fin d'été, et qu'avec un forage à 100 m, nous aurions de l'eau en abondance.
Le sol est fait d'une couche poreuse de terre et de galets. Les galets montrent que nous sommes dans la vallée ancienne. Les montagne ne sont pas loin. L'eau descend de la montagne, imbibe les couches.
Le premier puits a été fait par des clowns. Le second l'a été fait par un clown, mais en plus grand et en plus solide. L'installation électrique est le fait de Phototherm, maison de Marrakech.
C'est bruyant, ça râle ! Non, ce n'est pas du tapeur dont il est question, mais de l'opérateur. Le tuyau est d'un bon diamètre, en métal, solidemant soudé. Il descend à quasi 100 mètres.
Les palmiers ont de l'eau et ils aiment. Sur le local technique, les panneaux d'alimentation de la pompe. La réserve, discrête, est sur le côté. A l'horizon, le Jnane Tifraouine, oliveraie géante.